La gratuité de l’enseignement reste un engagement fort de l’État algérien. Lors d’une rencontre avec des opérateurs économiques à Alger, le président Abdelmadjid Tebboune a réaffirmé que l’Algérie ne renoncera pas à ce principe, bien qu’il représente une charge financière importante pour les finances publiques.
L’enseignement gratuit, du primaire jusqu’à l’université, est présenté comme un acquis majeur dans la construction de l’État social.
le président Tebboune a souligné que ce principe est au cœur de la mission éducative de son gouvernement, et qu’en aucun cas il ne sera remis en cause.
Par ailleurs, le président a rappelé les progrès réalisés depuis l’indépendance : l’analphabétisme, qui avoisinait les 90 %, a été grandement réduit grâce à des politiques d’investissement dans le système scolaire.
Pour le président Tebboune, la gratuité de l’enseignement est un pilier non négociable du projet national. Malgré les contraintes économiques, elle demeure au centre de la politique éducative, comme un indicateur de la justice sociale et du droit à l’éducation. L’avenir dépendra de la capacité de l’État à allier ce principe avec une amélioration continue de la qualité et des ressources.